A caminho da Travessa dos Fiéis estava assim o ar da tarde. Era melhor com o HP5 da ILFORD e a minha Leica M6, mas só tinha o telemóvel à mão. Paul Verlaine socorreu-me horas mais tarde (Verlaine e Baudelaire socorrem-me sempre nestas horas), sem que o dia tivesse melhorado. Mas o começo da noite ficou mais poético.
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
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